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Le choix de Première : Effets Secondaires de Steven Soderbergh, avec Jude Law, Rooney Mara, Channing Tatum...

Synopsis : Jon Banks est un psychiatre ambitieux. Quand une jeune femme, Emilie, le consulte pour dépression, il lui prescrit un nouveau médicament. Lorsque la police trouve Emilie couverte de sang, un couteau la main, le cadavre de son mari ses pieds, sans aucun souvenir de ce qui s'est passé, la réputation du docteur Banks est compromise...L'avis de Première : Ce serait donc le dernier film sur grand écran de Steven Soderbergh, qui a annoncé son intention d'arrêter après Behind the Candelabra, biopic télé sur Liberace, un pianiste de music-hall très kitsch. Disons-le d'emblée : Effets secondaires n'est pas un bouquet final. Plutôt une ligne de plus dans la filmographie d'un réalisateur qui, après avoir oscillé entre productions hollywoodiennes et petites digressions expérimentales, se cantonne depuis quelque temps la voie médiane de l'industrie bien faite, sans prétentions artistiques ni ambitions spectaculaires démesurées. Dans le registre, ce fi lm est un pur produit Soderbergh, la fois générique et labellisé par ses gimmicks.

Lire la suite...Bande-annonce : Choix N°2 : 11.6 de Philippe Godeau avec François Cluzet, Bouli Lanners, Corinne Masiero...

Synopsis : Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, 10 heures du matin, il appuie doucement sur l'accélérateur de son fourgon blindé. À l'arrière de son véhicule, 11,6 millions d'euros...

Librement adapté de l'oeuvre de Alice Géraud-Arfi Toni 11,6, Histoire du convoyeur

L'avis de Première : Tout le monde a entendu parler de l'affaire Musulin qui, en 2009, défraya la chronique par son caractère insolite et engagé, l'opinion publique ayant fait de ce sans-grade un Robin des Bois moderne. Pourquoi s'est-il rendu (il purge actuellement sa peine) ? Que sont devenus les deux millions et demi d'euros (...)

FOOTBALL – Le club catalan a un groupe officiel de supporters en Île-de-France…

Il ne parle pas catalan, n'a jamais habité Barcelone, et encore moins porté les couleurs du club. Et pourtant, lors de PSG-Barça, Olivier Rivière, 41 ans, emmènera ses camarades soutenir les coéquipiers de Lionel Messi. Tout simplement parce qu'il est le président de la Penya du Clan, le seul groupe de supporters francophones dans l'Hexagone reconnu par le FC Barcelone.

Ils sont entre 20 et 30, «mais attention, on n'est pas des footix, comme ceux qui supportent le club depuis tout récemment grâce aux stars», explique Rivière, magasinier la Fnac. Lui est tombé dedans en 1982, devant sa télé, lors de la finale de la Coupe des Coupes contre le Standard de Liège. «J'ai tout de suite flashé sur l'emblème et les couleurs. Et puis j'ai appris que c'était les rivaux du Real Madrid, que supportaient les immigrés espagnols de mon équipe de foot, qui n'arrêtaient pas de me bassiner avec», reprend l'habitant de Pavillons-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.

«Lionel Messi est bon, Cristiano Ronaldo est mauvais»

Ses premiers pas au Camp Nou, il les fait en 1999, après «avoir gagné 20.000 francs au Loto Sportif». Et ces dernières années, il reste sur six Clasicos consécutifs. Autant dire que chez lui, c'est un musée la gloire du Barça. Les pièces maîtresses? «Une réplique de 53 centimètres et de 3 kilos en résine de la C1», «une photo avec Léo Messi dédicacée, accrochée dans mon salon», et «toute la collection des maillots du Barça de l'époque Kappa».

Forcément la famille n'a pas grand-chose dire. Adriano, son fils de 10 ans, a été briefé: «Le Barça c'est les meilleurs, le Real les mauvais. Lionel Messi est bon, Cristiano Ronaldo est mauvais». Un amour envahissant? «C'est ma passion. Ma femme m'a toujours laissé tranquille avec ça.»

par Matt Robinson et Aleksandar Vasovic

BELGRADE (Reuters) - La Serbie a averti mercredi qu'elle aurait des décisions très difficiles prendre dans les jours venir sur la question du Kosovo, afin de tenter de préserver ses aspirations européennes.

Cette déclaration fait suite l'échec des pourparlers directs entre Belgrade et Pristina sur une normalisation de leurs relations, cinq après la proclamation d'indépendance du Kosovo.

A l'issue de 12 heures de pourparlers Bruxelles, la porte-parole de la diplomatie européenne Catherine Ashton, engagée depuis des mois dans une tentative de médiation entre la Serbie et le Kosovo, a donné aux deux parties "quelques jours" pour consulter et rendre compte d'éventuelles avancées, avant qu'elle ne transmette la mi-avril son rapport d'étape l'Union européenne, qui décidera alors si la Serbie est habilitée entamer en juin des négociations sur son adhésion l'UE.

Alors que la Croatie doit devenir, en juillet, la deuxième ex-république de Yougoslavie entrer dans l'UE, après la Slovénie en 2004, Belgrade souhaite ardemment l'ouverture de négociations sur son adhésion. Le Monténégro, naguère rattaché la Serbie, a lui aussi entamé des négociations d'adhésion.

"Malheureusement, nos pires craintes, en ce qui concerne les pourparlers (avec le Kosovo) sont devenues réalité", a déclaré Marko Djuric, conseiller en politique étrangère du président serbe Tomislav Nikolivc, l'issue d'une réunion des dirigeants serbes leur retour de Bruxelles.

"Dans les jours venir, les dirigeants de l'Etat vont devoir prendre des décisions incroyablement difficiles, dont l'opinion sera tenue informée", a-t-il déclaré la presse.

Le Kosovo, majoritairement albanophone, a proclamé son indépendance en 2008 avec l'appui de certains pays occidentaux mais pas de la totalité des Etats membres de l'UE. Actuellement, le nouvel Etat est reconnu par plus de 90 pays, dont les Etats-Unis et 22 des 27 membres de l'UE.

LE NORD DU KOSOVO, PIERRE D'ACHOPPEMENT

Catherine Ashton a souligné que cette réunion de Bruxelles entre les Premiers ministres serbe et kosovar, respectivement Ivica Dacic et Hashim Thaci, était la dernière rencontre organisée officiellement sous les auspices de l'UE, mais elle n'a pas pour autant exclu qu'il y ait un accord de dernière minute.

Le Premier ministre serbe et son homologue kosovar ont tous deux jugé que la porte restait ouverte pour un accord.

"Ce n'est pas la fin, il y aura de nouvelles discussions Belgrade", a déclaré Ivica Dacic. "Nous avons encore du temps pour parvenir une solution et pour rassembler nos idées après ces longues discussions."

Hashim Thaci a évoqué la possibilité d'une nouvelle rencontre la semaine prochaine, "si la Serbie en accepte le principe", sans en préciser le lieu ni l'éventuel médiateur.

"Nous espérons qu'ils mettront les prochains jours profit pour effectuer une réflexion sincère", a-t-il dit. "Je continue d'espérer qu'un accord peut être trouvé."

Le nord du Kosovo, dominante serbe, a été au coeur des discussions Bruxelles et bloque jusqu' présent l'intégration de la Serbie dans l'UE.

La Serbie a proposé de reconnaître l'autorité du Kosovo sur le Nord, une concession forte de sa part, tout en réclamant une autonomie pour les 50.000 Serbes qui y vivent.

Les deux camps ne parviennent pas s'entendre sur le degré de cette éventuelle autonomie, notamment en matière de système judiciaire et de services de police.

Bertrand Boucey et Eric Faye pour le service français

FOOTBALL – Le club parisien veut éloigner les volatiles qui occupent l'enceinte…

Les ornithologues les appellent Parabuteo Unicinctus. Le grand public les nomme buses de Harris. Mais pour Cyril Thevenin, c'est juste Bella et Rocco. Depuis le début du mois de mars, ce fauconnier, employé par la société Avipur, intervient deux fois par semaine au Parc des Princes avec ses deux rapaces. Sa mission? Eloigner les pigeons de l'enceinte parisienne, coupables de manger les graines de la pelouse foulée par Zlatan Ibrahimovic et d'empêcher sa régénération entre les rencontres du PSG. «Le but, c'est de créer un sentiment d'insécurité pour les pigeons et de les éloigner du site avec le stress occasionné, explique Cyril Thevenin. C'est difficile d'estimer combien ils étaient au départ mais il y avait quand même pas mal de nids entre les poutres du Parc.»

«Sympa de voir voler ses buses au Parc des Princes»

Bella, la femelle, et Rocco, le mâle, ont donc été priés d'investir le Parc des Princes pour y faire régner leur loi. Plus habitués intervenir dans des clochers d'église ou dans des entrepôts de zone industrielle, les deux rapaces ont mis du temps avant de s'habituer leur nouveau terrain de chasse. «Ce sont des oiseaux intelligents, sociables et qui s'adaptent vite un nouvel environnement, souligne Cyril Thevenin. L , c'est la première fois qu'elles interviennent dans un si grand lieu. Je ne suis pas particulièrement fan de sport mais les voir voler dans le Parc des Princes, c'est quand même sympa.» Les pigeons du stade n'ont pas particulièrement savouré la beauté des deux rapaces. Peu méfiants au début en citadins non-avertis, les volatiles ont très rapidement constaté la dangerosité du tandem de buses. «Il y a assez peu de victimes par rapport au nombre total de pigeons, décrit le fauconnier. Voir un de leurs congénères se faire attraper a quand même un impact psychologique sur le reste des (...)

Le premier secrétaire du PS estime que le président "s'est montré la mesure de la gravité des actes et des mensonges inacceptables de Jérôme Cahuzac".

Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a salué mercredi une "fermeté absolue" chez François Hollande dans le dossier Cahuzac. Le président "s'est montré d'une fermeté absolue, la mesure de la gravité des actes et des mensonges inacceptables de Jérôme Cahuzac", écrit l'eurodéputé dans un communiqué. Pour lui, le chef de l'État a "annoncé trois décisions fortes. Le PS lui apportera le soutien le plus complet pour renforcer l'indépendance de la justice, avec la réforme du Conseil supérieur de la magistrature, contre les conflits d'intérêts, avec la publication obligatoire des patrimoines des parlementaires et des ministres, et pour la lutte contre la corruption et la fraude fiscale, avec l'interdiction de tout mandat public pour les élus condamnés pour ces délits".

"Alors que la droite et l'extrême droite se livrent une surenchère politicienne dangereuse, le président de la République a fait le choix de la fermeté et de l'action", écrit encore le numéro un du PS.

Il y a bien longtemps, une époque où l'histoire se confond avec la légende, le prince de Cracovie, Boleslas, demanda la main de la belle Kinga son père Bela IV, souverain de Hongrie. Peu après, se penchant au-dessus du puits de la mine de sel de Marnarosz qui faisait la prospérité du royaume hongrois et que lui avait donnée son père, Kinga y fit tomber sa bague de fiançailles.

En route pour le mariage, elle fit arrêter le cortège une dizaine de kilomètres de Cracovie, Wieliczka, et demanda qu'on y creuse un trou. Ses serviteurs se mirent l'oeuvre et dégagèrent un bloc de sel gemme dans lequel, miracle, brillait la bague. Ils creusèrent alors avec ardeur et plus ils creusaient plus ils récoltaient de sel. C'était au XIIIe siècle et jusqu'en 1996, sans interruption, des générations de mineurs ont travaillé la roche, faite de 85 % de sel légué par l'océan qui occupait les lieux il y a treize millions d'années, avant la surrection des Carpates.

En sept siècles, ils ont extrait 7,5 millions de mètres cubes de sel, principal moyen pour conserver la nourriture. Au XIVe siècle, cet or blanc dont 'une tonne suffisait acheter un village' insiste Marek Ezyzowski, guide la mine, représentait le tiers des revenus de l'Etat. Grâce lui, ont été construits châteaux, églises, couvents et maisons de la bourgeoisie cracovienne.

Au fil des siècles, 300 km de galeries ont été aménagés sur neuf niveaux (de - 64 - 327 m), 2 040 chambres et chapelles ont été creusées et ornées, pour certaines, de statues sculptées dans la roche, de différentes nuances où domine le gris et qui la font ressembler au granit sans en avoir la dureté. Wieliczka, aujourd'hui propriété de l'Etat, tire profit du tourisme, surtout depuis son inscription en 1978 sur la première liste du Patrimoine mondial de l'Unesco. Chaque année, un million de visiteurs parcourent en trois heures, avec un guide, les 2,2 km de galeries ouvertes au public sur (...)

PEOPLE - «Closer» dévoile les salaires qu(ont touchés Nabilla, Amélie et les autres candidats pour leur participation l'émission d’NRJ 12...

Nabilla a fait gagner des milliers de téléspectateurs NRJ 12, qui réalise des records d'audiences depuis le buzz généré par le «Allo» de la candidate. Mais combien a-t-elle gagné, elle? Selon Closer, pour dix semaines de tournage, la candidate a touché un cachet de 25.000 euros.

Amélie a touché 35.000 euros

Mais celle qui s'est imposée comme la star du programme n'est pourtant pas la mieux payée. Le plus gros cachet atteint 35.000 euros et revient Amélie. Les autres salaires sont «compris entre 10.000 et 20.000 euros». «Alban (The Voice), Marie (de Koh-Lanta), Capucine et Thomas (Secret Story) touchent 20.000 euros. Samir, Aurélie et Benjamin plafonnent quant eux 17.000 euros», rapporte Closer.

«On est dans le cliché, le stéréotype complet»

Le mardi 27 mars dernier, l'émission d'NRJ 12 enregistrait un nouveau record d'audience en rassemblant 1.112.000 téléspectateurs soit 8,5% du public. La chaîne dépassait ainsi pour la cinquième fois consécutive le million de téléspectateurs.

Françoise Laborde, membre du CSA, qui a évoqué mardi de nouvelles pistes pour encadrer la télé-réalité, explique ce mercredi au Figaro que «Les Anges de la télé-réalité» l'ont en partie décidée reprendre, la semaine dernière, avant le drame de «Koh-Lanta», son travail sur la «violence» de ces programmes. «On est dans le cliché, le stéréotype complet. On a affaire des adultes qui ne connaissent pas d'autre relation que le conflit. Les participants sont censés s'encourager, s'aider. Or la violence, les injures, les insultes, le manque de respect sont présentés comme l'unique solution», estime-t-elle.